Changement climatique à Maroua, Extrême-Nord Cameroun

Les femmes rurales de la ville de Maroua s’engagent pour la lutte contre le changement climatique dans leur milieu de vie. La technique de l’engrais vert augment et améliore la production agricole. Une association anime ces mamans autour de ce sujet.

Maroua est exposé aux changements  climatiques avec un climat sec accompagné du vent voilant et chaud rempli de poussière (harmattan). La saison pluvieuse très courte, interroge les habitants sur le devenir de l’homme et des animaux dans cette région. La savane a presque perdu ses arbustes et la disparition de certaines espèces sauvages sont visiblement remarquable. Au mois de mars, hommes et femmes ainsi que les  bêtes se discute le peu d’ombrage que peu offrir la nature. La vie aux bureaux est insupportable rendant les employés nerveux, les usagés nerveux, la tension monte avec le climat chaud et la consommation de l’eau devient un problème lamentable avec les coupures de l’électricité incontrôlé et pourtant, les pompages de l’eau qui alimente la ville est lié directement aux énergies électriques. Les vendeurs d’eau en plastique dont on ignare la provenance en profitent. En tout cas, on n’a pas du choix. Les Neemiers qui dominent la ville de Maroua, est une manne du ciel grâce à son adaptation à ce climat changeante. Les lézards sensible à la chaleur, eux aussi ne laissent pas cet espace que aux hommes, déjà habitués à ces reptiles même s’ils montent parfois sur leur dos, ils trouvent cette explication « tu auras un nouvel habit » ou bien « cette animal a enlevé ta malchance ».

Dans la ville de Maroua, les femmes rurales parcourent rues et quartiers portant sur leur tête les diffèrent vivres récolter des champs. Elles sont majoritaires et en dépend que de l’agriculture de subsistance. Ces femmes sont les plus touchées par la faim et la mal nutrition. Souvent, ces paysannes ont très peu d’espace exploitable et recollement pas grande choses pour concurrencer les vivre exportés et subventionnés en provenance des pôles de productions industriels qui surabonde la ville de Maroua, rendant ainsi  leur gain moindre.  Les effets de changement climatique influence énormément sur la vie des femmes rurales. A l’extrême-nord, tout est extrême. L’observation de la fréquence d’événement de changement climatique ; une hausse de la température, une diminution des précipitations et une improbabilité des arrivées des pluies. La saison de pluie plus courte accompagne de vent qui provoque l’érosion du sol, les inondations engendrant des dommages important des produits agricoles.

Pour répondre à ces problèmes, il faut augmenter la productivité agricole biologique par ces femmes  tout en tenant compte du changement climatique et l’agriculture familiale écologique, c’est-à-dire sans produits chimiques,  est une des solutions basés sur la connaissance paysanne locale et cible sur les besoins de la population. Cela s’adapte aux changements climatiques. Regroupent de ces femmes en association pour assurer la sécurité alimentaire. Faire pousser les légumes pour les manger. Travailler pour retenir l’eau et enrichir le sol avec les matières organiques. En administrant la rotation de la culture pour aider le sol, cette variation deviennent un fertilisant les unes pour les autres. La technique de terrasse connue sous l’appellation bief en pierres calés est une solution anti érosif utiliser en zones montagneuses et freine l’eau des pluies qui lessive le sol. La plus part sont analphabètes, prévoir un cours d’alphabétisation associer à la  pratique de démonstrations pour maitriser l’agriculture écologique, comme les calculs de dépense et de recette d’une exploitation agricole.  La disponibilité de l’eau est un problème. D’où la technique de  la création des points de retenu l’eau qui s’écoule rapidement vers les rivières. Assurer les points d’eau potable et l’eau de production des cultures comme les petits barrages sont indispensables.  

Chacun doit être responsable et doit jouer un rôle par des gestes les plus simples pour conserver la nature.